HOTEL CORTE BIANCA EN OGLIASTRA

La structure en cour ouverte vers la mer vous embrasse et vous protège ; chaque détail s’inspire des éléments présents dans la nature environnante et dans l’environnement typique de la Sardaigne, les réinterprétant pour donner une nouvelle lumière aux intérieurs.

Les meubles et les objets qui embellissent les chambres et les espaces de l’hôtel parlent de la famille Bovi et de la passion pour l’Hospitalité. Comme les lampadaires qui illuminent les chambres par exemple :
ils racontent une histoire d’amour entre un fils et un père qui malheureusement est parti trop tôt mais qui a toujours été son guide spirituel.
Peppino Bovi est arrivé en Sardaigne grâce à un contrat de reboisement.
Dans ses diverses vies, Peppino a également été bûcheron et Angelo, son fils, l’accompagnait dans ses aventures.

Peppino était amoureux des arbres, il conservait des planches de pins dans un garage, avec l’idée d’en faire quelque chose un jour.
Malheureusement, le temps en a abîmé la plupart mais ces planches sont toujours restées dans l’esprit d’Angelo jusqu’à ce qu’en 2018, à partir de ces planches, il décide d’en faire un lampadaire pour les chambres du Corte Bianca.
Une base en marbre d’Orosei, une planche de pin ou de châtaignier comme structure et un simple abat-jour en toile claire, en hommage à Peppino et Romana, ses parents.
Et il aime penser qu’à chaque fois que quelqu’un allume la lumière, une pensée monte là-haut, jusqu’à eux.

La madia
Le nom complet de la madia est “la phénoménologie du signe entendue comme noèse constitutive du temps” abrégé en “le signe dans le temps”.
C’est un jeu de bois et de céramique qui retrace l’évolution de la symbolique sarde à travers les différentes époques historiques.
Des carreaux de céramique réalisés par les artistes Danilo Carta et Andrea Macis s’emboîtent dans le bois de sapin et donnent vie à quelque chose d’unique et d’irrépétible car il n’existe pas deux madias identiques.
Paléolithique, néolithique, âge nuragique, moyen âge et contemporanéité se succèdent et se représentent avec leurs symboles.
Des symboles d’artistes comme Costantino Nivola, Salvatore Fancello et Maria Lai accompagnent Pintadere, déesses mères et Tanit dans ce jeu évocateur de l’histoire et de l’art.